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Histoire d'une asphyxie fiscale...

29 Août 2013 , Rédigé par Cercle Albert de Mun Publié dans #socialisme

S’il y a bien une phrase pleine de bon sens qu’a pu s’attribuer Margaret Tatcher, c’est bien celle-ci : « Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres ». Soulignant bien l’intrinsèque lien entre la vitalité du socialisme et l’imposition des contribuables, elle met en exergue cette simple vérité économique : le socialisme scie inéluctablement la branche sur laquelle il vit, croyant crée de la richesse en augmentant simplement les prélèvements sur les acteurs économiques du pays.

Et les français en découvrent chaque jour davantage, comprenant bien trop tard les méfaits de l’application économique de la pensée socialiste : plus de 151 dispositions fiscales votées en un an (Juillet 2012-Juillet 2013), nouvelle augmentation d’impôts (200 à 400€) pour près de 20 millions de foyers français, etc….

S’arcboutant derrière la fallacieuse excuse du « c’est pas nous, c’est la crise » (dixit Mme Vallaud-Belkacem), les gouvernants socialistes osent encore se pavaner devant les français, usant de Méthode Coué pour essayer tant bien que mal de faire passer la pilule fiscale. Mais de tous les bords – et même européen -, on prévient des conséquences finales de cette dynamique taxatrice.

En interne, Julien Dray (PS) parle de « point limite lorsque le système fiscal donne le sentiment que ceux qui travaillent et investissent ne le font plus que pour payer des impôts ». Au niveau Européen, Olli Rehn, vice-président (affaires économiques et monétaires) de la Commission Européenne annonce : « La France a atteint un seuil fatidique. Lever de nouvelles taxes aurait pour effet de casser la croissance et de peser sur l'emploi. La fiscalité de l'épargne et l'impôt sur les sociétés ont aussi atteint des seuils trop élevés ».

Encore faut il faire comprendre au « capitaine de pédalo » national qu’à force de tirer à boulets rouges sur les travailleurs, il détruit non seulement l’économie nationale, les espoirs de reprises et de réfections budgétaires des entreprises, mais il détruit également le tissu social qui en résulte, les liens qui unissent les foyers français.

L'homme supérieur demande tout à lui-même ; l'homme vulgaire demande tout aux autres.

Confucius

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